La grande rousse
Posté par Alain40 le 9 septembre 2016
La voir, et l’observer, c’est la magie de Bourdouze à cette saison, mais qui se cache derrière ce titre ? Les plus initiés d’entre-vous auront bien sûr pensé à L’aeshne grandis, l’A grande, la belle rousse aux ailes fumées, et que l’on ne peut pas oublier ! Les amateurs de photos seront déçus par cette série, mais croyez moi, je me suis démené pendant 3 jours, espérant toujours faire mieux… Mais à l’évidence, c’est quand même très compliqué. J’explique, la voir posée relève du miracle, mais ça arrive, le problème est qu’il faut bien l’avoir repérée pour pouvoir effectuer l’approche qui convient, sans qu’elle ne s’envole, en vol, les clichés sont aussi possibles, une deuxième série leur sera consacrée, mais elle évolue dans un milieu très chargé, comme vous allez le constater, les coeurs copulatoires se forment, mais convolent à la cime des grands arbres, hors de portée des objectifs, restent, les femelles en action ou en recherche de lieu de ponte, pour éviter le zéro pointé, mais là, faut pouvoir trouver les bonnes fenêtres de tir dans la végétation rivulaire et ce n’est pas une mince affaire ! Que d’énergie dépensée, pour un piètre résultat, mais c’est pas grave, on y reviendra, elle est trop belle !
Nous l’avons vue au quotidien, et aussi sur les sites jurassiens, en deuxième partie de notre périple
Alain
Tu as bien du mérite en effet. Eh bien, Tu as été long à poster à nouveau mais là tu as retrouvé un sacré rythme. Quel boulot avant de partager tes photos et tes textes non moins léchés. Ah la belle rousse. Au moins on découvre son environnement…
Merci Olivier, tu le connais aussi cet environnent, tu y as trempé tes bottes
Magnifique, elle mérite le détour, et la « choper » est déjà un exploit, bravo et merci du partage ! Ah les petits points bleus à la base des ailes… Cdlt, M.
Merci Maurice, les points bleus, c’est la touche finale !