Respect, messieurs les striés !

Rendez-vous compte, nous sommes en toute fin de saison, venons de passer une dizaine de jours d’intempéries, ce matin il a gelé et malgré le soleil un petit 8° au meilleur de la journée, mais j’ai pu dénicher tout à l’heure une poignée d’irréductibles qui n’ont pas encore rendu leurs armes… Alors là, je dis, chapeau et respect les gars ! Pas d’idylle un jour de Sainte Odile, c’est trop demander, seuls quelques mâles se sont prêtés à la pose devant mon objectif, dont le clan des gaffeurs de la bande d’en haut, fidèle à son banc public !  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un bonus offert par notre amie Michelle, qui à la vue de ces images, inspirée par le poète Guillevic, m’a fait passer ces quelques vers:

 

Sur le banc de bois privé des amours d’été

Qui déjà oublie

Une libellule s’est posée

Au milieu des noms gravés

Et rouge à crier

Crie au bord du temps

 

Merci Michelle !