Histoires de Sympetrum, suite

Cette femelle m’a donné un peu de fil à retordre en matière d’identification… Dans un premier temps, j’avais bien pensé à Sympetrum sanguineum, S sanguin, mais les pattes pas complètement noires m’ont orienté vers une de ses cousines, après demande de confirmation, je dois un grand merci à la liste Boyeria et ses pointures, pour m’avoir signalé que chez cette espèce, les femelles n’ont pas toujours les pattes complètement noires, surtout sur la partie interne des antérieures, dont acte, merci ! On finit toujours par être moins couillon
Rencontrée dimanche 31 sur mon site référence montois, une quasi exception pour l’espèce cette saison, mes spots habituels étant actuellement inaccessibles, par décision préfectorale, on ne peut pas se déplacer en forêt aux abords des lagunes, un biotope qu’ils affectionnent, et celui vu dans la zone humide d’Aureilhan dernièrement n’avait pas été une réussite en matière photographique.
Voici quelques clichés, pourrais-je en reposter cette saison ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain