L’invitée surprise

Nous sommes rentrés ce matin d’une cousinade familiale dans la périphérie toulousaine, elle se déroulait hier, et dans une bonne ambiance deux de mes belles-sœurs sont venues me chercher  » Vite Alain, une belle libellule est posée, sur le mur de la piscine !  » Boitier en mains, me voilà rapidement sur zone, et bien une Boyeria irene, Aeschne paisible, s’il vous plait, j’étais très loin de penser faire hier des clichés d’odonates, et encore moins de cette espèce, et ben voilà, quelques photos et hop repartie sous d’autres cieux !
Sur ce support j’ai pu voir que sa tenue camouflage ne lui servait en rien

 

 

 

 

 

Alain

 

 

Dans les Barthes, à la recherche des Gomphes

La météo était des nôtres, ce 31 juillet, pour aller faire une prospection dans les Barthes, aux abords de la confluence Luy Adour, et tenter de contacter les rares Gomphus flavipes et graslinii. J’avais déjà fait deux tentatives infructueuses précédemment, et oui, ce sont les inconvénients du métier ! Finalement pas bredouille, mais presque, un G flavipes aperçu, avec un mauvais cliché, mais que je garde quand même en témoignage de ma seule rencontre, avec cette espèce en 2014, et quelques G graslinii, pas toujours très complaisants avec le paparazzi… On espère donc faire mieux l’année prochaine !

Voici Gomphus flavipes, le Gomphe à pattes jaunes

 

 

Puis Gomphus graslinii, le Gomphe de graslin

 

 

 

 

 

Pour compléter cette série minimaliste, ce Platycnemis latipes, une espèce très présente sur ce site

 

 

Ainsi que cette rencontre, inattendue, avec ce mâle Boyeria irene, qui s’est envolé à mon approche, pour se percher très haut, dans la végétation, il m’a fallu monter un multiplicateur, pour allonger la focale de l’objectif et pouvoir tirer ce cliché, que je vais oublier assez vite

 

 

Alain

 

De l’ombre à la lumière

Pratiquement toujours en zone ombragée, les mâles de Boyeria irene, Aeschne paisible, dans leur tenue camouflage, patrouillent inlassablement les rives des ruisseaux et rivières, en inspectant les moindres anfractuosités, à la recherche des femelles. Les opportunités de les photographier dans de bonnes conditions sont rares, et nous en avons eu deux durant notre semaine ardéchoise, voici les clichés:

 

 

 

 

Le paparazzi se baisse un peu, pour changer son angle de prise de vue !

 

Et pour le témoignage, ce cliché pris avec une sensibilité de 6400 isos, de cette femelle en ponte dans la mousse, dans les racines d’un arbre de rive, presque à l’abri des regards indiscrets

 

 

Alain

 

Appellez nous Irénée…

… Et non Irène, puisque nous sommes de sexe masculin, m’ont dit ces Boyeria irene, rencontrés, avec la complicité de Pierre, sur la Louyre, en Ardèche, où cette espèce est très abondante, mais comme d’habitude, rarement posée, bien sûr !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain