Poussée du mercure

J’ai honte… Ceux-là, pas vu venir, un gros 27° hier après-midi, j’enfile mes cuissardes et vais jeter un coup d’oeil au ruisseau du jardin, et ben, quelle surprise, une dizaine de Coenagrion mercuriale, A de mercure, mâtures, ferraillent, batifolent, flirtent, voire plus si affinités ! Quelques pas supplémentaires et je fais décoller une émergence de Calopteryx virgo, C vierge, mâle, je peux aussi rajouter 3 nymphes pour faire bon poids  , Si je compte bien, ça fait donc deux nouvelle espèces dans la même journée !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Honneur aux dames

Actuellement les opportunités de photographier en solo des femelles Coenagrion mercuriale, A de mercure, sont rares, et lorsque on en rencontre une complaisante, on en profite ! Merci à cette miss de s’être prêtée, hier après-midi, à une petite séance photos !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Certains se demandent peut être, quel est le fond jaune d’arrière-plan, et bien il s’agit de fleur d’iris des marais, c’est la saison !

 

 

Alain

Ponte atypique

Témoin hier après-midi, sur mon ruisseau d’Ambos, d’une ponte de C mercuriale, avec un tandem en partie immergé, je pensais bien tenir un scoop avec cette espèce, même les pointures Jean-Pierre et Cyrille, n’avaient jamais vu ! Et bien  non, Dominique et Pierre du forum du monde des insectes ont des clichés comparables antérieurs On se contentera donc de parler d’une méthode de ponte très atypique pour cette espèce. Je parlais d’apnée pour la femelle, c’est pas tout à fait ça, elle s’enveloppe d’une pellicule d’air, lui permettant de respirer, merci Jean-Pierre pour la précision.

Quelques clichés témoignage de la scène, je n’ai pas voulu trop charger, beaucoup sont redondants

 

 

 

 

 

 

 

Petite précision supplémentaire, la plante support est de la jussie, que je confine dans mon enclos Et puis une bonne nouvelle, aperçu les premières femelles Calopteryx virgo, C vierge, et Ischnura elegans, A élégant, mais pas encore de cliché les concernant…

Alain

 

 

Prises de tête

Et sans migraine, pour ces dames Toujours fidèle au poste, ma petite bande de mercuriale du jardin, quelques clichés d’hier, en rapport avec le titre de l’article, bien sûr !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

La vie continue…

… Pour les odonates, tout s’est arrêté pour nous, mais la nature fonctionne, elle, et mes copains du jardin, la bande de mercure, étaient bien de sortie, hier, profitant d’un généreux soleil ! Il m’a d’abord fallu les chercher dans l’herbe, à quelques 10 m de l’eau, en tout début d’après-midi, un p’tit jeune pour démarrer, une jeunette affamée, et puis les couples se forment, certains mâles en solo, essaient de perturber le bon déroulement des choses, la vie, quoi !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Ils sont là !

Je démarrais hier une série  » Il y a un an…  » et bien aujourd’hui place au live ! Une petite animation hier après-midi, au ruisseau du jardin, sur lequel, depuis notre retour de La Réunion, je continue d’avoir un oeil curieux avec une quinzaine de Coenagrion mercuriale, Agrion de mercure, ils sont bien des habitués de notre partie du ruisseau d’Ambos, mais très honnêtement je ne les attendais pas si tôt, jusqu’à présent ma meilleure date précoce était le 7 avril, et bien à l’instar de l’ami Maurice, nous avons donc changé de mois ! Ces individus étant matures, ils ont donc au minimum une quinzaine de jours, et sont donc fin prêts pour concevoir la future génération, pas de temps à perdre, sait on jamais

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une vue du site de ponte:

 

 

 

 

 

Alain

En rouge et bleu

Ce sont les couleurs du ruisseau d’Ambos, aujourd’hui… Aïe, et celles aussi de l’équipe de rugby de Béziers, qui se déplace demain sur la pelouse du stade montois, pour une qualification en demi finale de notre championnat, j’espère que cela n’est pas prémonitoire ! Mais place aux acteurs du jour, je jouais aussi à domicile cet après-midi, nombreux Pyrrhosoma nymphula, N au corps de feu, et Coenagrion mercuriale, A de mercure, les mâles très territoriaux se sont disputés les meilleurs supports, et bien sûr les belles de passage !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ouf, l’honneur est sauf, j’ai quand même pu trouver un sujet aux couleurs du stade montois, jaune et noir !

 

 

Allez le stade !

Alain

Ambos, nouvelles du front

 En fait c’est si près, il me suffit de mettre des cuissardes et de descendre au jardin, que je n’y suis pas tous les jours ! Mais ça résiste encore, les Calopteryx virgo ont pratiquement disparus, reste un mâle bien seul, par contre une grosse poignée de C haemorrhoidalis des deux sexes, toujours surpris de voir quelques Coenagrion mercuriale, les premiers étaient sortis en avril, ce qui leur fait une longue période de vol, et se sont ajoutés dernièrement les habituels Sympetrum striolatum de fin de saison.

Quelques clichés de ces deux derniers jours:

 

 

 

 

 

L’Epeire a tendu ses fils, efficacité maximum, résultat une femelle S striolatum au menu du jour !

 

 

 

 

 

Et pour terminer sur une note positive, un tandem de S striolatum:

 

 

Avec ce coeur de C virgo, daté d’août:

 

 

Alain

Des nouvelles du front d’Ambos

Mais que se passe t’il au jardin ? On garde les mêmes et on en ajoute quelques uns Les premiers arrivés, toujours là Pyrrhosoma nymphula, et Coenagrion mercuriale, Calopteryx virgo, rejoint depuis par les cousins xanthostoma et haemorrhoidalis, un mâle Libellula fulva, qui se promène, mais seul représentant de son espèce, quelques Orthetrum coerulescens, et depuis peu, Platycnemis latipes et Sympetrum sanguineum, tout ça sous le contrôle d’un Anax imperator venu probablement d’un étang voisin et qui n’a pas voulu, hier se laisser tirer le portrait, malgré quelques poses dans notre végétation rivulaire !

Je vous impose aujourd’hui, une très copieuse série !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Ruisseau d’Ambos, dominantes rouge et bleue

Indépendamment du nouveau venu depuis hier, jaune et noir ! Le camp des rouges: Il est loin le moment où un mâle Pyrrhosoma nymphula, trainait sa solitude dans le secteur, les effectifs des deux sexes se sont bien renforcés. Mais le camp des bleus n’est pas en reste, avec son bataillon de Coenagrion mercuriale, A de mercure, et tout ce petit monde travaille dur pour mettre en route la future génération ! Et dans le camp des bleus, apparition des mâles Calopteryx virgo, mais ceux là ne jouent pas dans la même cour !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain