Des nouvelles du front d’Ambos

Mais que se passe t’il au jardin ? On garde les mêmes et on en ajoute quelques uns Les premiers arrivés, toujours là Pyrrhosoma nymphula, et Coenagrion mercuriale, Calopteryx virgo, rejoint depuis par les cousins xanthostoma et haemorrhoidalis, un mâle Libellula fulva, qui se promène, mais seul représentant de son espèce, quelques Orthetrum coerulescens, et depuis peu, Platycnemis latipes et Sympetrum sanguineum, tout ça sous le contrôle d’un Anax imperator venu probablement d’un étang voisin et qui n’a pas voulu, hier se laisser tirer le portrait, malgré quelques poses dans notre végétation rivulaire !

Je vous impose aujourd’hui, une très copieuse série !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Ruisseau d’Ambos, dominantes rouge et bleue

Indépendamment du nouveau venu depuis hier, jaune et noir ! Le camp des rouges: Il est loin le moment où un mâle Pyrrhosoma nymphula, trainait sa solitude dans le secteur, les effectifs des deux sexes se sont bien renforcés. Mais le camp des bleus n’est pas en reste, avec son bataillon de Coenagrion mercuriale, A de mercure, et tout ce petit monde travaille dur pour mettre en route la future génération ! Et dans le camp des bleus, apparition des mâles Calopteryx virgo, mais ceux là ne jouent pas dans la même cour !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

En jouant à domicile, c’est plus facile

Quand la météo ne s’est pas montrée clémente depuis 2 jours, de descendre au ruisseau du jardin, pour profiter du moindre rayon de soleil !

Quelques clichés d’hier en début d’après-midi, et pour commencer, les Calopteryx virgo, immatures ou confirmés, très présents

 

 

 

 

 

Une p’tite P nymphula

 

 

Un tandem de C mercuriale

 

 

Et cette femelle Gomphus vulgatissimus, en plein casse-croûte, un seul cliché, hélas, avant qu’elle ne s’envole !

 

 

Alain

 

 

 

Restons au jardin

Deux autres espèces de saison, parmi nos locataires actuellement, un couple très familier de Pyrrhosoma nymphula, qui s’est gentiment laissé déplacer pour le sortir du fouillis d’herbes sur lequel il s’était posé Et ce tandem de Coenagrion mercuriale, je ne peux que me satisfaire de constater leur présence au fil des années, les futures générations sont donc en route !

 

 

 

 

 

 

Alain

Ils seront encore là en 2016

Pas de sortie, hier, ces clichés sont d’avant hier, réalisés dans le ruisseau d’Ambos, qui traverse notre jardin, c’est bien pratique, pas besoin de la voiture le dernier m’a d’ailleurs valu de me mouiller les fesses, pour diminuer l’effet plongée, mais c’était pour la bonne cause ! Voici donc, mes sympathiques voisins, j’ai nommé, C mercuriale, Agrion de mercure, concentrés sur la fabrication de la future génération…

 

 

 

 

Alain

En Rouge et bleu

Journée retour d’un week-end familial toulousain, aujourd’hui, pas de grande sortie possible, on se rattrapera demain , mais juste une descente avec le matos, aux abords du ruisseau d’Ambos, dans notre jardin, pas mal d’activité, les Pyrrhosoma nymphula conçoivent la future génération, et les mâles Coenagrion mercuriale (A. de mercure) bataillent ferme, pour s’attribuer les meilleurs supports ! Par contre, pas encore aperçu le moindre Calopteryx, sur ce site, où se côtoient 3 espèces, et alors ?

 

 

 

Alain

Pata negra, sur le ruisseau d’Ambos !

Je ne l’avais pas revu depuis 2 ans, et tout à l’heure, une bien belle surprise m’attendait dans les iris du jardin, un…… Gomphus vulgatissimus (Gomphe à pattes noires, dit aussi vulgaire) Il a gardé la pose le temps de 3 petits clichés, merci, et hop, envolé vers la lisière de la forêt voisine, mais pas de problème, tu reviens quand tu veux !

Toujours sur les berges, ce couple d’Ischnura elegans, fort occupé, ce mâle solitaire de Coenagrion mercuriale, à la recherche de l’âme soeur, ainsi que la femelle Calopteryx virgo, arrivée avant hier, elle prend confiance, je peux maintenant l’approcher !

Place aux clichés, manque un poil de lumière, mais ne boudons pas notre plaisir !

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain, qui part demain matin, pour une dizaine de jours à Toulouse, qui ne sait pas ce qu’il va y trouver, ni ce qu’il retrouvera au retour dans ses Landes !

La journée des Coenagrions…

… Oui, je crois qu’on peut le dire, deux nouvelles espèces dans mon escarcelle, mises en boite cet après-midi ! Dans l’ordre d’entrée en scène, cet individu immature de Coenagrion puella (Agrion jouvencelle), très complaisant, sur mon site local habituel, place aux clichés:

 

 

 

 

 

Plus tard dans l’après-midi, dans les iris du jardin, ce tandem de Coenagrion mercuriale (Agrion de mercure), très farouche, un seul cliché. Précisons qu’ils atteignent leur maturité sexuelle, merci encore à JP Boudot pour l’info, en moyenne à 16 jours pour les mâles et 13 jours pour les femelles, ce qui revient à dire qu’ils sont nés en mars, une date précoce, même dans mon secteur, j’ai donc dû manquer les émergences !

 

 

 

Enfin, pour mettre un peu de couleur dans la série, Sympecma fusca, et Pyrrhosoma nymphula, deux habitués du blog, et de ce départ de saison, que je ne présente plus, aux chevronnés que vous êtes !

 

 

 

 

Alain

La poussée du mercure…

…A bien fait les choses, aujourd’hui, un début d’après-midi, sur les chapeaux de roues, tout d’abord, au ruisseau qui traverse notre jardin, et qui porte le joli nom d’Ambos, premiers clichés d’un Calopteryx virgo et apparition des Coenagrion mercuriale, observé deux mâles se disputant le meilleur emplacement !

 

 

 

 

 

 

Ensuite, tour du bord de mare de la base du Marsan, de nombreuses Libellula quadrimaculata, à l’envol, ou encore accrochées à leur exuvie

 

 

 

 

 

 

 

 

Ischnura elegans, bien sûr

 

 

 

 

 

 

Et cette Cordulia aenea, encore à la maternité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle est pas belle, la vie ?
Alain

 

 

 

Poussée du Mercure !

ça y est, enfin sortis, les Coenagrion mercuriale (Agrion de Mercure) du ruisseau qui traverse notre enclos, il était temps, si on se réfère aux dates de la saison dernière, le premier vu le 9 avril ! Bon, les individus du jour ne sont pas des émergences, mais des sujets matures, ils auront profité de notre petite absence pour montrer le bout de leur nez.

Par contre je trouve que la génération 2012, a une sexualité bien débridée ! Ah, la jeunesse, c’était le bon temps !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain