Mon panier côtier

J’ai profité d’un rendez-vous artisan dans notre appart sur notre côte océane, avant-hier, pour faire un mini tour sur le spot du courant du lac de Soustons, et bien 3 têtes nouvelles contactées, vous n’en verrez que 2, mes clichés d’Enallagma cyathigerum, A porte-coupe, ne sont pas réussis, la faute à un vent soutenu, qui a contraint les sujets à se plaquer au sol, amateurs de fonds dépouillés, bonjour Voici les deux autres, des immatures de Platycnemis acutipennis, A orangé, et de Gomphus pulchellus, G gentil, et au final la valeur sûre du site actuellement, Ischnura elegans, A élégant:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Quand le prédateur devient proie

Mon dernier article, vous relatait, le casse-croûte de 10h, d’une femelle Ischnura elegans, A élégant, et bien figurez-vous que sur le même site, le courant du lac de Soustons, ce matin c’était au tour de Gomphus pulchellus, G gentil, de petit déjeuner avec une femelle Ischnura elegans, dure la loi de la nature !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

 

 

Jaune et noir, sont nos couleurs !

Chantaient hier soir, les supporters du Stade Montois Rugby, mon équipe de cœur, qui s’est qualifiée aux dépens de nos voisins agenais, pour la demi-finale du championnat de France de Pro D2 !
Pour leur rendre hommage, un Gomphus pluchellus, G gentil, de lundi dernier, bien sûr aux couleurs de l’équipe !

 

 

 

Accompagné de Platycnemis acutipennis, A orangé, le bel orangé aux yeux pas encore bleus, dans cette jolie petite prairie au dessus de la zone humide présentée dernièrement

 

 

 

Alain

Presque anachronique

Je pensais leur période de vol terminée, car Gomphus pulchellus, G joli, est précoce dans le secteur, mais j’ai contacté cette femelle cet après-midi aux abords du courant de Soustons. Compte tenu de la décision préfectorale d’interdiction de circulation en forêt, certains de mes spots côtiers sont devenus inaccessibles, il faudra donc attendre une météo plus propice, pour que je puisse retrouver mes terrains de jeux habituels. La belle n’était pas farouche, je l’ai taquinée en vain, pour quelle abandonne la pose au sol dans les herbes sèches, mais à l’occasion d’une pose casse-croûte, elle a accepté mon index gauche et la poignée de mon bâton de randonnée, rendons lui hommage, ses jours sont comptés !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

 

 

Attention un Gomphe peut en cacher un autre

Si vous suivez ce blog régulièrement, vous m’avez déjà entendu parler de la rive droite du Luy, un affluent de l’Adour, sur la commune de Tercis les bains (40), son chemin de halage propose quelques rencontres avec divers odonates, dont certains Gomphes, communs ou plus rares. Jeudi 23 juin, nous l’avons parcouru avant les gouttes de mi après-midi, et sur la petite vingtaine de Gomphes aperçus, nous avons pu en photographier 4 et curieusement sur les mêmes supports, au sol sur herbes sèches, et sur des feuilles d’orties, 2 espèces, Gomphus pulchellus, G joli, et G graslinii, G de Graslin. Un peu frustré par mes clichés, je ferai une repasse plus tard, bien sûr !
On commence par G pulchellus:

 

 

 

 

 

 

Et G graslinii promis:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

On change de Gomphe

Nous venons de passer une semaine sur notre côte océane, avec une météo très perturbée, surtout en nocturne, mais il a fallu adapter les sorties possibles en fonction des gouttes, et souvent raccourcies, le rapatriement vers le véhicule s’imposant
Aux abords du courant de Soustons, (le  » courant  » ici est l’exutoire d’un lac d’eau douce côtier, qui canalise l’eau vers l’océan) où j’ai mes marques depuis quelques années, on en revient jamais bredouille, en témoigne cette série, images de 2 sorties avec Gomphus pulchellus, G joli, sur support de feuilles de Renouée du Japon, plante invasive qui colonise une partie de la berge, sur le dernier cliché il justifie même son ex nom vernaculaire de  » gentil «   face à face avec ce qui aurait pu être une proie potentielle, mais la cohabitation est restée pacifique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Gentil le premier Gomphe !

Retour après un grand WE passé sur notre côte océane landaise. En changeant de biotope, je m’attendais bien sûr à faire le plein de nouvelles coches saison, et il n’en a rien été, la faute à une météo locale, sans soleil et affichant pratiquement 10° de moins qu’à quelques kilomètres à l’intérieur des terres, une seule sortie considérée comme à peu près positive et des nouveaux contacts avec Gomphus pulchellus, Gomphe gentil et Platycnemis acutipennis, l’Agrion orangé. On fera mieux la prochaine fois… Peut être !
3 Gomphes gentil dégottés et un photographié, l’honneur est sauf même si les supports ne sont pas top

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Le bouquet final, suite

Comme promis, quelques clichés supplémentaires, dont la vedette de ma saison, Ophiogomphus cecilia, O serpentin, recherchée et contactée en Alsace cet été !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain qui vous souhaite de bonnes fêtes !

Trop gentils,ces Gomphes !

Nos chemins s’étaient déjà croisés cette saison, mais sans que je n’ai l’opportunité de faire une série convenable, l’occasion s’est présentée à nouveau jeudi dernier, deux individus, Gomphus pulchellus, G gentil, fraichement émergés, le premier cliché a été réalisé par Colette, mon épouse, qui l’a découvert dans les basses herbes de rive, juste avant qu’il ne s’envole un peu plus loin, l’autre à l’allure bien neuve aussi, était joliment perché sur les jeunes feuilles de Renouée du Japon, il m’a laissé l’approcher de très près, merci !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Gentil, le Gomphe

Gomphus pulchellus, G gentil, mais pas sympathique, de ne pas se choisir un support qui permette de le mettre en valeur ! Vous le savez, la pose au sol est quasi systématique pour cette espèce, comme d’autres membres de la famille d’ailleurs, le confinement m’a fait manquer leur début de saison, et les occasions de le photographier pour moi ne sont pas si fréquentes actuellement, alors je me contente de ce que j’ai sous la main, ou plutôt devant mon objectif

Et pourtant le premier était perché, bon faut relativiser, à une dizaine de centimètres du sol

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain