Dans les lagunes de sud Gironde, suite 1

Une première suite à mon article précédent, avec un panier très éclectique aujourd’hui, du courant et des espèces moins communes, dans l’ordre d’entrée en scène, Coenagrion puella, A jouvencelle, Libellula quadrimaculata, L à 4 taches, Orthetrum cancellatum, O réticulé, Sympetrum fonscolombii, S à nervures rouges et Erythromma najas, Naïade aux yeux rouges (immature)
Place aux photos:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Samedi jour de quadri, suite

Une copieuse série, que j’espère vous trouverez digeste Avec au final un peu de vert dans cette jungle de roseaux secs, support choisi par cette L quadrimaculata, L à 4 taches, après son premier envol !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Samedi, c’est jour de quadri !

Voici mes premiers clichés saison de Libellula quadrimaculata, L à 4 taches, réalisés ce matin, 5 exemplaires dégottés et accompagnés d’une bonne vingtaine de Cordulia aenea, C bronzée, elles étaient toutes sorties de leur exuvie et rétablies, à mon arrivée 8h30, mais il aura fallu attendre 11h pour que la première s’envole, une première série d’images, une autre suivra

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Le best-off 2023

Il est de coutume à cette période de l’année de vous présenter une petite sélection des meilleurs clichés, la saison a été moyenne, avec une météo très particulière, j’ai raté les Leucorrhines, hors la découverte de nouvelles stations landaises pour albifrons, à front blanc par l’ami Clément, et celle des Gomphes rares… Le temps fort sera sans contexte, la semaine passée dans la Drôme fin juillet, et l’occasion de revoir les Sympetrum pedemontanum, S du piémont et depressiusculum, déprimé, et cette émergence d’Hemianax ephippiger, A porte-selle, la seconde donnée de reproduction de l’espèce pour ce département
Place aux acteurs, dans l’ordre chronologique d’entrée en scène:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain 

Retour de marché

Une mini série, puisque l’arrivée des gouttes, non prévue, tout à l’heure, me contraignant à un retour anticipé à la maison… Dommage, l’après-midi était bien engagée, individus matures côtoyant émergents et immatures, du rouge, du bleu, voire plus
Quelques clichés quand même:

 

 

 

 

 

 

Alain

5 sur 5

Ce matin du 10 mai, 100% de forme praenubila, marques noires alaires plus étendues, sur les 5 immatures de Libellula quadrimaculata, L à 4 taches, contactés, y a des jours comme ça ! , et à l’honneur au final, le support lierre, pas fréquent !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Beau comme un camion !

Envie de réhabiliter cette expression du milieu du siècle dernier, comme le temps passe vite , à propos de mes rencontres de jeudi matin, dès 9h, certaines étaient déjà prêtes à l’envol et au sommet de leur roseau, difficile d’aller plus haut, non ?
Et de très nombreuses émergences non terminées aussi, le cours de la Libellula quadrimaculata, L à 4 taches, risque fort de baisser, avec autant d’individus, et leurs joutes aériennes n’ont pas fini d’égayer nos mares et étangs !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et changeons d’individu et de support pour la dernière !

 

 

Alain

Mal à « ma » mare

Un peu, beaucoup, triste, comme la météo, l’Alain, aujourd’hui, quand il s’est rendu compte, mercredi matin, que des débroussailleurs fous (je n’ai rien contre l’entreprise prestataire qui fait son boulot), avaient fait fi d’une partie de la roselière qui encadre la petite mare de la base de loisirs du Marsan, elle servait de perchoirs aux rainettes et odonates émergents du site, sans parler de l’avifaune locale, colverts, poules d’eau, grèbes castagneux, et même la présence hivernale exceptionnelle il a quelques mois d’un râle d’eau, etc, les grenouilles vertes, en pleine saison des amours ne s’en sont pas remises non plus… On peut ensuite parler de fauchage raisonné et de biodiversité, foutaises, je pense qu’il existe d’autres périodes plus favorables pour nettoyer les abords !
En préambule quelques images du désastre, en souhaitant que ce  » chantier  » en reste là !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et malgré ça la vie continue dans les roseaux encore en place (pour combien de temps ? ), immatures, émergences, et cette diagonale d’Ischnura elegans, A élégant, que j’aime bien:

 

 

 

 

 

 

 

Ah oui, que je vous dise, un petit break d’une grosse semaine, nous allons voir ce qui se passe en Touraine, dans l’ex secteur de l’ami Morikan, et espérons bien pouvoir marcher dans ses pas !
Soyez sages en attendant notre retour !

Alain

Sortie de douche

En arrivant sur mon site, lundi 24 à la fraiche, après une nuit bien arrosée (de pluie, bien sûr, ne vous méprenez pas , je m’attendais bien à trouver quelques immatures englués dans les gouttes et la rosée, effectivement quelques L quadrimaculata, L à 4 taches, et Cordulia aenea, C bronzée, étaient bien là, planquées ou non dans les roseaux, et en deux petites heures de prospection, nous, c’est à dire elles et moi, avons pris d’autres douches, du jour cette fois, vers 10h, retour à la maison, encore une journée de nombreuses émergences, mais sans lumière, sous la flotte, on se lasse, elles ont ont du courage !
Quelques photos quand même, on commence par L quadri, et suivra la belle bronzée, toutes les deux, même combat avec cette météo !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La pluie revenue, elle a refermé ses ailes, une bonne technique !

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

 

 

Le petit matin

Un vrai bonheur, le matin de bonne heure, de chercher ce qui peut bien encore se cacher dans les roseaux, souvent quelques émergents de la veille restés en place, les intempéries ayant empêché leur envol, ils attendent une météo plus propice, couverts de rosée et de gouttes La lumière est rarement top, à la prise de vue, il faut monter en isos, compliqué aussi de trouver la bonne profondeur de champ, dans ces conditions, il y a pas mal de déchet, mais avec obstination, et le sujet restant captif, on arrive quand même à sauver quelques photos, qui restent perfectibles, bien sûr !
Quelques unes de dimanche matin 23, vous reconnaissez l’espèce, je pense !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain