Le bouquet final, suite

Comme promis, quelques clichés supplémentaires, dont la vedette de ma saison, Ophiogomphus cecilia, O serpentin, recherchée et contactée en Alsace cet été !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain qui vous souhaite de bonnes fêtes !

Après les bleus, les yeux verts

Autre rencontre, sur le sentier graslin, celle de l’Onychogomphus forcipatus, l’O à pinces, site où ils sont rarement posés au sol, ils adoptent des supports type graminées sèches, ou des feuilles de ronce, ce qui les rends à nos yeux de photographes extrêmement sympathiques, vous en conviendrez et lorsque la végétation de fond se dilue de la meilleure des manières, ça devient top ! Place aux clichés, et prenez bien votre souffle la série sera copieuse !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Bonnes fêtes !

Nous arrivons au terme de cette année particulière, enfin oserais je dire, il est temps de vous souhaiter de bonnes fêtes de Noël, à 2, 4, ou 6, ou en visio avec famille et amis… Au niveau odonates, cette saison ne m’aura pas permis les mêmes sorties que par le passé, confiné complet au printemps pendant les premières émergences, mon spot de référence sans eau et en travaux durant une grande partie de l’année, un peu compliqué de vous présenter quelques clichés marquants, malgré mes valeurs sures du secteur que vous connaissez et une très bonne sortie pour les Sympetrum pedemontanum, S du Piémont, et en Auvergne cet été !

Quelques clichés de cette saison manquée, ce ne seront probablement pas les derniers de l’année, puisque nos amis Sympetrum striolatum, S strié, n’ont pas encore abandonné la partie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Sentier Graslin, millésime 2020, suite 1

Puisque l’Onychogomphe reste une valeur sure, actuellement, je vous propose quelques clichés supplémentaires de O forcipatus contactés sur ce sentier, mais toujours coopératifs, qu’ils en soient ici remerciés !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Sentier Graslin, millésime 2020

Souvenez-vous, il y a un an, je vous avais présenté ce sentier, rive droite du Luy, affluent de l’Adour, peu avant sa confluence, ouvert et ombragé à la fois, avec quelques murs de ronces, et secteur de Gomphus graslinii, G de Graslin, on peut même y rencontrer le plus rare S flavipes, le cousin aux pattes jaunes, ainsi que de nombreux Onychogomphus forcipatus, O à pinces, qui fait l’objet de ma mise en bouche d’aujourd’hui Une petite dizaine de kilomètres parcourus (en aller-retour) hier avec Colette, mon épouse, hors du monde, on adore !

Voici quelques vues du site:

 

 

 

 

 

 

Avec cet individu très coopératif, j’ai pu jouer au d’abord de loin, je tourne autour, puis plus près !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Bouquet final, 03

Troisième série imposée, ça va toujours ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Vert ou bleu ?

Entre les deux, mon cœur balance, les yeux verts d’Onychogomphus forcipatus, O à pinces, ou les bleus de Gomphus graslinii, G de Graslin ? Et bien voici un mélange des deux, je vous laisse juges !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

C’est MON perchoir !

Toujours sur le sentier Graslin, on peut aussi trouver quelques Onychogomhus forcipatus, O à pinces, souvent très territoriaux, celui là était vraiment comme attaché à son piquet, indélogeable, mais il m’a fallu m’allonger pour pendre ces clichés, son perchoir hauteur une quarantaine de centimètres, dur, dur

Avec effet zoom, bien sûr !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Il en pince pour moi

Pas vraiment farouche, et fidèle à son perchoir, une grosse branche de pin posée au sol depuis le dernier gros coup de vent, voici mon premier Onychogomphe à pinces, Onychogomphus forcipatus, contacté cet après-midi, malgré le fait que le biotope ne lui soit pas favorable, mais il était là, fallait donc en profiter

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Le lac Chauvet

Nous quittons la tourbière de Gayme, pour nous rendre au lac Chauvet, toujours sur la commune de Picherande, un grand lac d’origine glaciaire, 54 ha, et situé à 1176 m d’altitude. Après notre randonnée tourbière, c’est un peu le retour à la civilisation, beaucoup de monde, facile d’accès avec parking à proximité, pas de grand intérêt photographique, mais en cheminant sur ses rives, surprise, quelques Onychogomphus forcipatus, O à pinces, nous tiennent compagnie, eh oui, ils peuvent parfois être sur de grands lacs !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce mâle Sympetrum flaveolum apporte sa petite touche colorée, dans cet univers minéral

 

 

Alain