C’était la Saint Petrum

Un petit tour samedi dernier dans les mares et lagune forestières de la forêt de Messanges, difficiles d’accès cette année, mais  » Que d’eau, que d’eau  » aurait pu dire Mac-Mahon, s’il m’avait accompagné , dans les ornières laissées par les débardeurs, des flaques de plusieurs dizaines de mètres se sont crées, où patrouillent les opportunistes L depressa, L déprimée, j’ai même vu un femelle y pondre, on en attendra pas grand chose… Par contre, ça n’a pas vraiment dérangé les Sympetrum, très nombreux à l’envol lors de mon passage aux abords des plans d’eau habituels, j’ai cliqué à tout va, sur les différentes espèces, je pensais même avoir pu faire le grand chelem local, en réussissant à photographier les 4 possibles, sanguineum (sanguin) fonscolombii (à nervures rouges) striolatum (strié) et meridionale (méridional) et ben non, c’est manqué, en fait 3 sur 4, il me manque le dernier, merci à l’ami Pierre l’ardéchois, c’était bien un striolatum
Honneur au p’tit nouveau, l’omniprésent du jour, S sanguineum, suivront striolatum, et fonscolombii au final, un seul exemplaire contacté, attention la série est copieuse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

 

 

 

 

 

 

Les deux cousines

Toutes les deux émergées avant-hier aux abords du bassin de rétention du secteur, les miss Sympetrum striolatum, S strié, et fonscolombii, S à nervures rouges, cette dernière plus farouche, ne m’a laissé lui faire qu’un seul cliché, ce sera le premier présenté, mais l’autre a été une vraie complice de mon objectif, se posant sur différents supports, merci !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

68 jours…

… 6/03 et 13/05/24… Environ 2 mois, séparent ma date tardive d’observation d’un millésime 2023, et celle, précoce, d’arrivée de la génération 2024 de Sympetrum striolatum, S strié, cette saison, sur le même site du bassin de rétention d’eaux pluviales, j’en ai contacté 6 en début d’après-midi, avant-hier, je pense que rarement l’écart  n’aura été aussi court, une première pour moi, en tout cas !
On commence la série de clichés, honneur à l’ancien, avec 2 photos (déjà présentées) dans son solarium, suivent celles du millésime 2024, à qui je souhaite bon vent, et si possible la même longévité !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Chouette, il est encore là à la Sainte Colette !

Une mini sortie tout à l’heure, entre 13 et 14h, malgré la gelée du petit matin, un bon soleil et 15°, il n’en fallait pas plus pour que je recontacte mon ancien combattant du 17 février, souvenez-vous, le mâle Sympetrum striolatum, S strié, là on est presque dans l’exceptionnel, c’est ma seconde date tardive de l’espèce, après celle du 24 mars 2016, et je pense que si les nombreux lézards des murailles de empierrement solarium le laissent tranquille, il devrait croiser le millésime odonates 2024, c’est pas tous les ans !
Je crois qu’il méritait bien d’être mis à l’honneur !
Sinon, des Brunettes et encore des Brunettes (Sympecma fusca) et leurs beaux yeux bleus d’individus matures

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Le survivant !

Parti à la pêche aux Brunettes, Sympecma fusca, hier en début d’après-midi, une belle surprise m’attendait aux abords du bassin de rétention, un mâle Sympetrum striolatum, S strié, se réchauffant au soleil sur l’enrochement de la berge Souvenez-vous, ma date tardive saison était du 7 janvier, celui-ci a su se préserver, il est encore en très bon état, comme vous allez pouvoir le constater sur les images qui suivent, je vais même lui souhaiter bon vent pour les jours à venir !

 

 

 

 

 

 

 

 

Et bien sûr, ces yeux de Brunettes, qui commencent à bleuir !

 

 

Alain

 

 

C’est fini !

La saison 2023 est belle et bien terminée, sauf miracle, mais Mont-de-Marsan se situe quand même à 140 kms de Lourdes , j’ai fait cette semaine 3 sorties infructueuses, en profitant de quelques éclaircies dans la grisaille ambiante, mais rien ne vole, la météo passée aura eu raison de leurs dernières forces ! Comme à l’accoutumée je vais donc rentrer en diapause Un petit mois, si courant février les Brunettes montrent leur bout de nez, et attendre vers la mi-mars l’arrivée du millésime 2024.
les images qui suivent sont donc datées du 7 janvier et passées par le filtre postériser les contours, pour leur donner un petit air de fête !

 

 

 

 

Soyez sages, et à bientôt !

Alain

Les papys font de la résistance !

Eux et moi, bien sûr ! Aujourd’hui, vers 13h, après une bonne heure de prospection, le gel du matin, les 6° ambiants et un ciel en partie plombé, j’ai pu contacter 2 mâles S striolatum, le premier en passant a fait décoller l’autre, et un duel aérien s’est engagé, comme à l’accoutumée, malgré mes conseils de garder leurs forces pour les prochains jours, ils en auront besoin !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alain

Mais non, à l’Epiphanie…

… La saison n’est pas finie ! Une petite surprise quand même, aujourd’hui vers 12h30, ce S striolatum contacté après 2 jours de disette, bien seul, je les avais déjà presque enterrés… Mais ils sont toujours là, pour le moment, les bottes ne sont donc pas encore tout à fait rangées, même si on nous annonce un vrai rafraichissement à partir de demain ! Suite au prochain numéro.

 

 

 

 

 

Alain

Aujourd’hui, Sainte Geneviève…

… Et il continue le rêve ! Une mini sortie tout à l’heure, et ça devient de plus en plus compliqué de pouvoir en contacter, seuls 2 mâles aperçus, et ce cliché à l’arrache, qui ne me vaudra pas un podium en concours, mais qui témoigne de leur encore présence, le vent et le retour des nuages sont venus ensuite sonner la fin de la partie…

 

 

Alain

 

 

 

 

The first ?

Ou, la (ou une des) der ? Elle est toujours fantasmée, LA première rencontre de l’année, et devenue aujourd’hui réalité ! Merci à la saison 2023 de jouer les prolongations pour me permettre d’atteindre la date symbolique du 01/01. Il a fallu se le gagner ce cliché, plus d’une heure de recherche avant de contacter ce mâle SS, et de pouvoir le photographier. La météo à venir n’étant pas au top, que restera t’il ensuite, mais comme tous les ans ils continuent de nous étonner par leur extraordinaire capacité à résister, alors ? Suite, ou pas, au prochain numéro !

 

 

Alain